Certaines photos présentes sur ce blog ont été glanées sur Google image. Demander les autorisations d'utilisation me semble lourd, compliqué, lent et quasi impossible. Les propriétaires de ces photos peuvent me demander leur retrait par mail ou l'ajout de la source vie un mail à : gayanee_0902@hotmail.com - Merci de votre compréhension.
... à La Licorne! Car le 30 mars 2011, tu as laissé le 1.100è comm' sur mon blog!!! ;-)
... à Bûchette! Car le 29 novembre 2009, tu as laissé le 1.000è comm'!!
... à LaRêveuse! Car le 4 mars 2009, tu as laissé le 900è
comm'!!
... à Eo! Car le 27 novembre, tu as laissé le 800è comm'!!
... à Guillaume! Car le 13 juillet, tu as laissé le 700è comm'!!
... à Vrininie! Car le 2 avril, tu as laissé le 600è comm'!!
... à SuperMama! Car le 21 janvier 2008, tu as laissé le 500è comm'!!
... à Cecilia! Car le 15 novembre, tu as laissé le 400è comm'!!
... à Arc-en-Ciel! Car le 14 septembre, tu as laissé le 300è comm'!!
... à Zara! Car le 5 août, tu as laissé le 200è comm'!!
... à Hapy! Car le 25 mai, tu as laissé le 100è comm'!!
... à Mibeolem! Car le 4 février 2007, tu as laissé le 1er comm'!!
> 3min48 pour aller à la rencontre du Revenu de Base, à travers des témoignages citoyens :
http://www.dailymotion.com/video/xviczn_le-revenu-de-base-quelle-utilite_news
- 10 min' de docu à diffuser
Article à lire ici, sur le blog de Paul Jorion.
Quand est-ce qu'on comprendra?
Le dimanche 14 octobre 2012, nous irons tous voter pour les élections communales. Mettez l'environnement au cœur des élections communales : http://www.iew.be/actions/mettez-lenvironnement-au-coeur-des-%C3%A9lections-communales
Avez-vous répondu à l'enquête sur "mes valeurs"? Le délai était jusqu'à la fin janvier. Suite à cela, j'ai reçu cet email-ci (dessous) et je me dis que si vous êtes intéressé(e)s, vous pouvez aussi y répondre, pour faire partie des groupes de travail par thèmes, pour aller encore plus loin :
"Vous recevez ce courriel parce que vous avez marqué votre intérêt à participer à un des groupes qui vont approfondir certaines questions de l'enquête sur l'évolution des valeurs et des comportements.
La tenue de ces group...es va offrir une valeur ajoutée considérable à l'enquête. Ils ne sont pas conçus pour être des groupes de longue durée, ils se réuniront juste une ou deux fois suivant le type de groupe. De manière à disposer du temps nécessaire, une rencontre s'étendra sur 3 heures. Les groupes comprendront un maximum de 10 participants et se tiendront en mai/juin en différents endroits.
Nous vous proposons deux types de groupes :
1. des groupes "généralistes" qui aborderont la globalité de votre vécu et se réuniront deux fois
2. des groupes thématiques qui approfondiront sur une seule rencontre un domaine particulier ; voici les différents domaines qui vous sont proposés :
* L'économie créative
* Le féminin et le masculin dans l'être et dans la société
* Le cheminement intérieur, la dimension de l'être
Au démarrage du groupe, le contexte de l'enquête sera explicité (origine, objectifs, premiers résultats).
Merci donc de répondre à ce mail de manière à confirmer et spécifier votre intérêt.
Pour répondre aux 3 questions ci-dessous, supprimez les mentions inutiles et envoyez votre réponse à contact@mesvaleurs.be
1. je suis intéressé(e) à participer à (plusieurs réponses possibles) :
a. un groupe "généraliste" OUI/NON
b. un groupe "économie créative" OUI/NON
c. un groupe "féminin/masculin" OUI/NON
d. un groupe "dimension intérieure" OUI/NON
2. je préfère un groupe :
a. en journée
b. en soirée
c. en week-end
d. indifférent
3. j'opte pour un groupe :
a. en région bruxelloise
b. dans le Brabant wallon
c. dans le namurois
d. à Liège
e. en Hainaut
Nous vous remercions pour votre réponse RAPIDE et reprendrons contact avec vous.
Cordialement,
Pour l'équipe de chercheurs,
Vincent"
"Mon désir le plus intense reste aujourd’hui le même que celui qui est né dans mon coeur de petite fille : que nous puissions créer ensemble ce monde de paix, de joie, de liberté, et d’amour pour tous. Un monde d’unité.
Oui, cela est possible. Nous avons des outils. Et le temps est venu."
- Annie Marquier
"L'administration européenne bruxelloise s'est illustrée en interdisant aux producteurs d'eau en bouteille d’affirmer que boire de l’eau prévient la déshydratation.
Deux docteurs allemands, Andreas Hahn et Moritz Hagenmeyer, ont demandé à la Commission Européenne s’il était permis d'indiquer sur les bouteilles d'eau que « la consommation régulière de quantités significatives d’eau peut réduire le risque de survenue d’une déshydratation et d’une baisse concomitante de performances ».
Après trois ans d’enquête, vingt-et-un scientifiques réunis à Parme (oui, 21 !), ont conclu qu’il n’y avait pas de preuves suffisantes pour affirmer que boire de l’eau prévenait la déshydratation. Cela signifie qu’il est désormais interdit aux producteurs européens d’eau en bouteille de l’affirmer sur leurs produits.
La décision a déclenché une vague de commentaires sur la folie réglementatrice de Bruxelles, rappelant l'épisode de la directive sur la courbure des bananes et des concombres (abandonnée en 2008).
Le député européen Roger Helmer (G-B) a ainsi déclaré :
« C’est d’une stupidité abyssale. L’Euro est en feu, l’Europe s’effondre et il y a des technocrates grassement payés pour s’interroger sur les qualités évidentes de l’eau et pour tenter de nous interdire le droit de dire ce qui est évident. S’il fallait un exemple pour démontrer la folie que représente le projet européen, c’est celui-ci. »
Le ministère de la santé britannique, dans un style plus châtié, a lui aussi critiqué la décision :
« Évidemment que l’eau hydrate. Bien que nous supportions l’Europe dans la prévention des affirmations mensongères à propos des produits, il est important de garder le sens commun. »
Quoi qu'il en soit, en application de la directive européenne du 16 novembre 2011, affirmer sur un produit que l’eau prévient la déshydratation, est désormais punissable de deux ans de prison. (1)
Des éditorialistes défendent Bruxelles
Cette affaire, qui a beaucoup agité la presse britannique, n'a pas été relevée par les médias francophones.
Plusieurs voix se sont toutefois élevées à l'étranger pour défendre la décision de Bruxelles :
* Il y a ceux qui expliquent que cette réglementation, certes ridicule, sera néanmoins bénéfique puisqu'elle va nuire aux fabricants d'eau en bouteille ;
* D'autres expliquent que la déshydratation n'est pas forcément causée par le fait de boire trop peu. La déshydratation peut aussi être causée par un manque d'électrolytes, des substances conductrices, comme le sodium et le potassium.
* D'autres accusent les deux docteurs allemands de conseiller les entreprises agro-alimentaires sur les allégations de santé qu’elles peuvent faire sur leurs produits. Ils auraient formulé leur demande exprès pour qu'elle soit rejetée, et ainsi démontrer que la législation européenne sur les allégations de santé est une farce.
* D'autres enfin trouvent convaincante l'explication des scientifiques bruxellois qui ont écrit, pour justifier leur refus, que « la teneur en eau dans le corps est un symptôme de déshydratation, et non quelque chose qui puisse être contrôlé par le fait de boire de l'eau ».
Là où est le problème
Maintenant, l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle ne prétend pas avoir un avis sur l'eau plus autorisé que les vingt-et-un scientifiques payés par Bruxelles pour s'occuper de ce dossier.
Selon Wikipédia, il existe trois types de déshydratation : « hypotonique ou hyponatrémique » (majoritairement perte d'électrolytes, en particulier le sodium), « hypertonique ou hypernatrémique » (majoritairement perte d'eau), et « isotonique et isonatrémique » (pertes d'électrolytes et d'eau équivalentes). Il semble donc que les deux opinions se valent.
Mais le fait est que, même si cette directive avait techniquement raison, elle n'en resterait pas moins symptomatique de ce que l'on reproche souvent aux fonctionnaires européens.
Et pour l'IPSN, c'est un sujet d'inquiétude.
Dans le domaine de la santé, il est nécessaire de mettre en place des mécanismes de contrôle. Il est aussi légitime qu'une administration européenne en soit chargée, puisque les questions de santé sont traitées à ce niveau.
Mais peut-on imaginer des bureaucrates se livrant à une activité plus stérile, entraînant des dépenses plus inutiles, qui ne rendent service à personne, lorsque tant reste à faire ?
On peut bien sûr rire de cette histoire. On est aussi en droit de s'inquiéter des controverses suscitées par l'Agence européenne de sécurité des aliments (EFSA) à l'origine de cette directive sur l'eau.
Rappelons en effet, que c'est aussi elle qui décide de ce que nous avons le droit de mettre dans nos assiettes, des plantes, et des compléments alimentaires que chacun d'entre nous sera autorisé, ou non, à utiliser demain.
Merci de faire circuler ce message.
Pour ceux qui ne croiraient pas à ce texte sur l'eau, le règlement européen signé de José Manuel Barroso est ici : http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ%3AL%3A2011%3A299%3A0001%3A0003%3AFR%3APDF
Naturellement vôtre,
Augustin de Livois
Institut pour la Protection de la Santé Naturelle"
Voilà comment fonctionnent les administrations européennes : bel exemple d'efficacité et de sens donné à son travail! C'est du n'importe quoi! Il y a des questions bien plus urgentes!
http://www.youtube.com/watch?v=U3qgBRr8rqE&feature=player_embedded
à voir, à re-voir et à diffuser : les solutions à "la crise" sont juste là, sous notre nez et on nous fait croire qu'il faut passer par l'austérité pour que ça passe... Arrêtons de les croire!